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TANKRUST (FRA) - Kootoh, Jules et Garth (Dec-2015 / ITW-VIDEO)
Même si TANKRUST signifie littéralement "réservoir rouillé", les membres du groupe sont bien loin d'être rouillés ! Sur scène, ils dégagent une formidable énergie, et on comprend d'où elle vient lorsqu'on les entend parler de leur passion pour le live et pour le partage avec leur public...
Retour sur l'histoire de ce groupe, la création de leur premier album, et leur expérience du live, avec notre rencontre de Kootoh, Jules et Garth.
Discographie : Beyond Thresholds (EP – 2013), The Fast of Solace (Album – 2015)
Metal-Impact. Avant de parler davantage de votre album, pouvez-vous me présenter un peu votre groupe, votre histoire ? Car même si vous êtes formés depuis 2006, votre 1er EP date de 2013, il y a sûrement des fans de Metal qui ne vous connaissent pas très bien encore... Kootoh. En fait, 2006 ça a été la création du groupe, et je suis le seul membre qui reste de cette époque-là. J'ai créé le groupe avec l'ancien batteur, avec lequel je faisais déjà de la musique avant. On a décidé de faire un projet Metal ensemble et on a commencé tous les deux. On a recruté un guitariste par internet, par petites annonces comme ça se fait souvent ; et puis le line-up a changé au fur et à mesure des années, à cause des obligations professionnelles des uns et des autres. La structure actuelle déjà c'est Garth, un ami de l'ancien batteur, qui à l'époque nous avait dit : "J'ai un pote qui fait de la guitare, on peut lui demander de venir pour remplacer celui qui est parti". Et puis on s'est adjoint un deuxième guitariste, qui était un ami aussi, qui a accepté de venir nous prêter main forte au moment où l'on manquait de cordes. Ensuite Jules, qui est le bassiste, était un ami de Garth qui est là, et qui s'est présenté aussi pour remplacer le bassiste qui est parti. Ça s'est fait comme ça, au fur et à mesure les gens ont remplacé les postes, et c'était des amis d'amis. La structure telle qu'elle est aujourd'hui, c'est depuis 2013 avec le nouveau batteur, qui lui aussi est un pote, donc c'est vraiment une histoire d'amitié, et c'est là qu'on a lancé le projet de faire l'album. On venait juste de sortir l'EP à ce moment-là, et quand on a eu la structure un peu stable qu'on a maintenant, on a commencé à lancer l'album qui est sorti il y a 2 mois. Ça a été ce parcours là au niveau humain.
MI. D'où vient le nom du groupe, TANKRUST ? Jules. En fait TANKRUST ça signifie "réservoir rouillé", ça image la musique qu'on fait, à savoir on pioche dans le "Old-School", mais on tend à moderniser un peu le son. En fait il y a plein de mélanges : comme chaque musicien du groupe a des influences diverses, on fait un mélange de tout ça, ce qui apporte une fraîcheur, mais avec des bases "Old-School". MI. Pourquoi le T à la fin en majuscules ? Kootoh. Il n'y a pas de signification particulière, c'est uniquement graphique, c'est purement esthétique (rires) MI. Certains d'entre vous ont des pseudos... Tous. Oui. MI. Ils ont une signification spéciale ? Kootoh. Garth !! (rires) Garth. Non, enfin c'est historique. Pour moi, c'est historique. Y'a une époque, ou comme chaque metalleux qui se respecte, j'avais les cheveux longs ; et a priori, j'avais une certaine ressemblance avec un certain Garth Algar de Wayne's World, d'où le pseudo qui m'est resté, malgré ma perte de cheveux... Jules. C'est l'âge... Garth. C'est resté !
MI. Je crois que vous venez tous de différents horizons du Metal, aussi pour vous, comment décririez-vous le style du groupe ? Avez-vous intégré tous ces éléments apportés par chacun ? Kootoh. Oui je pense car justement comme disait Jules, on a pas mal d'influences diverses, chacun a son propre univers. En général quand on communique sur notre musique, on dit qu'on fait un style Thrash/Death, avec un peu de Hardcore qui vient s'ajouter, et c'est tout à fait ça en fait. La base commune on va dire, c'est un Thrash qui est "Old School", et puis on a des gens comme Jules qui faisait partie d'un univers un peu punk avant, et qui tend vers le Hardcore, donc on a apporté ça en plus dans le groupe. On a Garth qui fait les solos un peu à la Thrash "Old-School" aussi, et on mélange ça avec le côté Death du nouveau batteur – Schuff - et je pense qu'on arrive plutôt bien à mélanger tout ça. En tous cas nous quand on écoute les morceaux le mélange nous parait cohérent.
MI. Parlons de ce nouvel album. C'est votre 1er album – est-ce qu'il a été difficile à écrire et composer ? Jules. Ça a demandé pas mal de travail. Après l'EP, on a eu des critiques, et on s'est servi aussi de ces critiques pour avancer. La venue du nouveau batteur après l'EP a donné un sacré impact aussi. On a travaillé chaque morceau en tenant compte de ce qui manquait sur l'EP. Par exemple, il manquait d'impact, de la mise en place des morceaux, enfin des passages sur certains morceaux ; tout ça nous a demandé beaucoup, beaucoup de travail, et on a un résultat qui est aujourd'hui plus que satisfaisant par rapport à l'EP.
MI. Comment travaillez-vous en général pour composer un titre ? Garth. C'est un melting pot, chacun apporte ses idées. Au départ, on a quelqu'un qui arrive avec une base, et puis chaque instrumentiste va se greffer dessus. Après toute la partie paroles, c'est Kootoh qui s'occupe de la totale, on lui fait entièrement confiance. Donc voilà, à partir d'une idée, d'une base musicale, on dit "là ça va pas, on le verrait plus comme ça" ; on modifie un peu les arrangements, après j'apporte les solos, et puis voilà ça devient un morceau. Kootoh. C'est souvent un gimmick qui donne le départ au morceau, un riff qui lance l'idée, à partir de ce riff, ça grandit et ça devient le morceau en lui-même, avec l'apport de chacun.
MI. Que signifie le titre "The Fast of Solace" ? Kootoh. "The Fast of Solace", littéralement, ça veut dire "le jeûne du réconfort". En fait c'est pour symboliser le fait qu'on ne veut pas se laisser bercer par les paroles qui essaient de nous endormir, comme les discours populistes, comme les medias avec les divertissements qu'on nous propose pour détourner notre attention des réels problèmes. Le but avec ce titre-là c'est de montrer qu'on essaie de rester assez lucides sur ce qui se passe dans notre monde, et que justement la plupart des morceaux qui vont suivre dans l'album vont parler de cette lucidité. MI. Oui j'ai noté qu'il y a plusieurs morceaux qui abordent le fait d'être maitre de son destin notamment... Kootoh. Oui, voilà. Bon c'est un peu récurrent dans les chansons en général, on essaie d'y apporter une certaine fraîcheur, mais ça nous tient à cœur aussi, c'est pour ça qu'on écrit là-dessus.
MI. Dead Pools était déjà sur l'EP, elle se retrouve ici : ce morceau a une signification particulière pour vous ? Kootoh. Pour moi il y a 2 raisons. La première raison c'est qu'il était effectivement dans les morceaux de l'EP, et il ne nous satisfaisait pas en l'état ; c'est-à-dire que c'était encore inachevé au niveau de ce que l'on voulait faire avec ce morceau, donc on a tenu à le remettre sur l'album, pour montrer qu'on avait fait évoluer le morceau au niveau où nous l'avions souhaité au départ. Et puis il y a aussi le fait que ce morceau-là, en live il marche super bien, il exhorte bien la foule, il a beaucoup d'impact justement comme disait Jules. Cela nous paraissait logique qu'il soit sur l'album, parce qu'il fallait qu'on ait un morceau comme ça qui laisse une trace un peu guerrière. MI. Ce morceau est un peu à part, c'est le seul à commencer lentement, doucement et il comporte pas mal de contrastes de rythme et chant... Pensez-vous explorer davantage ce genre de choses ? Garth. Je pense qu'on ne peut pas se borner à un seul style. On ne peut pas faire un album qui soit à l'identique, linéaire d'un morceau à l'autre, ne serait-ce que pour notre propre plaisir. On aime un peu explorer tout ce qu'on sait faire, tout ce qu'on aime, et je pense que pour le prochain album on continuera dans cette direction.
MI. Parlons un peu des paroles des chansons : sur DMZ, quelle est la troisième voie que tu évoques ? Kootoh. Ah, alors ça, ça va être ma partie (rires). Je suis très content en tous cas que tu aies étudié les paroles, ça fait plaisir. Mais oui, ce morceau là il parle du fait qu'on a toujours une espèce de clivage entre une option et une autre, le blanc et le noir, et puis on doit à chaque fois se conformer au cliché qui est ce choix dans lequel on s'intègre. Alors les paroles disent à un moment donné, est-ce qu'il n'y a pas une troisième possibilité qui serait un compromis entre les deux, qui ferait qu'on est jamais obligé d'être vraiment ou tout blanc ou tout noir, un archétype ou un autre ? Cette troisième voie, c'est celle dont on se demande si elle existe ou pas en fait. Nous en tous cas, on a pensé qu'elle existe. Mais on préfère poser la question à ceux qui lisent les paroles (rires). MI. Tu y parles d'hésitation entre la peur et un nouveau compromis ; est-ce que cette chanson prend une signification particulière pour toi au regard notamment de l'actualité politique ? Kootoh. Oui, c'est étrange de voir comme certains de nos morceaux s'intègrent justement dans cette actualité ; et ce morceau-là DMZ, qui en plus parle d'une zone démilitarisée, pourrait tout à fait coller aux derniers évènements qui se sont passés. Après, nous on a plutôt une interprétation positive des choses, on a plutôt tendance à être optimiste et vouloir être serein par rapport à ce qu'on écrit et ce qu'on propose. Donc au regard même de l'actualité, on préfère quand même garder de l'espoir et donner de l'énergie et du positif. Pour les paroles, ce serait plutôt dans ce sens-là.
MI. Au regard des paroles, quelle chanson te tient le plus à cœur et pourquoi ? Kootoh. C'est difficile à dire, je suis assez... c'est vrai que c'est des bébés les morceaux, donc à chaque fois que j'écris des paroles c'est toujours... (hésitations) Même si on offre les morceaux, on a quand même une part personnelle dedans, moi j'aime bien tous les morceaux qu'on a écrit, j'aime bien les paroles que je fais en général parce que ça me touche. Peut-être on va dire que la chanson la plus personnelle serait "Cleaver", justement parce qu'elle parle d'une expérience qui est directement liée à ce que j'ai vécu et qui du coup est différente par rapport au reste. MI. Peux-tu me rappeler quel thème aborde cette chanson ? Kootoh. C'est la chanson un peu douce, qui parle d'un suicide en fait. En général, c'est le genre d'événement qu'on vit assez directement et assez personnellement quand on écrit dessus, donc voilà c'est peut-être le morceau qui m'a le plus atteint directement, mais sinon j'aime bien tous les morceaux. J'ai vraiment du mal à choisir... après, c'est toujours pareil, c'est la nouveauté. C'est le dernier morceau qui nous plait le plus, parce que c'est le dernier morceau qu'on est en train de travailler. Il sera chassé par le prochain morceau qu'on travaillera (rires).
MI. Jules, Garth, qu'en est-il pour vous, est-ce qu'il y a un morceau qui vous tient à cœur ? Garth. Oui, il y en a plusieurs ; enfin pour moi c'est plus le plaisir de jouer. Je prends beaucoup de plaisir à jouer des morceaux comme "Barbarians" ou "DMZ" effectivement, mais globalement on aime jouer tous nos morceaux, il n'y a pas de soucis là-dessus. Après, c'est vrai qu'il y en a certains qui sont plus sympathiques, qui posent plus de défis, et pour moi ce sont ces deux morceaux-là que je choisirai. Jules. Pour moi, chaque morceau amène des sensations différentes. Par exemple pour "Cleaver", on a des passages assez différents, des passages calmes, assez lourds, et des passages plus speed. C'est ça qui est agréable, c'est vraiment avoir des sensations différentes à chaque morceau, et je pense que sur l'ensemble des morceaux, on arrive à avoir différentes sensations par morceau. Donc pour moi il n'y a pas de préférence en fait – musicalement en tous cas. Garth. Même "Draw the Line" ? Ce côté Hardcore... (rires) Jules. C'est différent. C'est du parti pris, après c'est moi qui ai amené l'idée, donc voilà... (rires) Mais non, chaque morceau est agréable à jouer.
MI. Quel serait pour vous le morceau le plus abouti sur cet album ? Jules. Le plus abouti ? Personnellement, je dirai "Appolo is Dead". Kootoh. J'aurais dit pareil. Garth. Moi j'aurais dit "DMZ". Kootoh. De toutes façons, "Appolo is Dead" et "DMZ" ce sont les deux derniers morceaux qu'on a composé avant d'enregistrer l'album. Jules. Ce sont les plus récents, oui. Kootoh. Et je pense qu'ils illustrent vraiment ce que va être TANKRUST dans l'avenir.
MI. Kootoh, je voulais te demander, est-ce que c'est difficile de chanter du Death/Thrash ? Kootoh. Je ne dirais pas difficile, mais ça a été le résultat d'une longue évolution. Au début, c'était un terrain qui m'était complètement inconnu, et avec les années, j'ai dû apprendre vraiment à maitriser – enfin, je ne dirais pas que je maitrise, mais en tous cas, à m'intégrer dans ce genre de chant. En revanche, je n'avais pas envie de rester dans un seul style. Je n'avais pas envie d'avoir un seul type de voix – Death par exemple, ou purement Thrash – parce que je m'ennuie au bout d'un moment. Du coup, l'exercice le plus difficile est là en fait, c'est de jongler entre différentes voix. MI. Tu avais pris des cours de chant ? Kootoh. Je n'ai pas pris de cours de chant en fait, mais ce qui est marrant, c'est que ma femme a pris des cours de chant saturé. A chaque fois qu'elle rentrait à la maison, elle me donnait les conseils qu'elle avait reçus, et du coup j'essayais de les intégrer. Garth. Tu piratais les cours ! Kootoh. Oui voilà je piratais les cours (rires). Et puis après je fais beaucoup de mimétisme aussi. En fonction de ce que j'écoute comme musique, j'essaie de reproduire ce que j'entends pour m'exercer. MI. Ça ne doit pas être facile de préserver ses cordes vocales, ce type de chant, sans avoir pris de cours ? Kootoh. Au début ça me faisait très mal, j'avoue. Maintenant ça va, avec l'habitude. On commence à apprendre justement à dompter un peu ce côté douloureux et à s'épargner.
MI. Les critiques de vos fans sont unanimes à ce sujet, vous dégagez une forte énergie en live - c'est une finalité pour vous les concerts ? Tous. Oui, absolument. Jules. Déjà, rien qu'au niveau de la composition, quand on compose, quand on est en studio de répétition, on pense aussi au live. On pense à l'album bien sûr, mais on pense également au live. Il y a des sensations que nous on ressent, qu'on veut partager avec le public ; et toute cette énergie qu'on va donner, on va la recevoir en retour si on le fait bien, et c'est ce qui se passe la plupart du temps en live. C'est la finalité du travail qu'on fait en studio, c'est le partage. Kootoh. J'ai du mal à concevoir un groupe qui ne jouerait pas pour un public en fait. Parce que la base de la musique, c'est quand même une forme de communication. Ne pas se dire qu'on se tourne vers le projet du live et de vivre justement un partage avec le public, je n'arriverais pas à le comprendre je pense. Pour nous ce qui est important, c'est cette osmose avec le public, les gens avec lesquels on va partager la musique.
MI. Vous avez un souvenir particulier de concert à raconter ? Garth. Oui, le Glazart. C'était pour la release de l'album. Il y a eu tout le public qui s'est retrouvé sur scène avec nous. C'était très impressionnant, et puis aussi, comment dire – on ne savait plus trop ce qu'on jouait. Kootoh. Oui, ça a été chaotique, c'est sûr ! Garth. On avait 4 mains derrière chaque corde, c'était assez spécial, mais c'était vraiment une très très bonne ambiance. Jules. C'était un bordel exaltant ! Garth. On regrette juste qu'au Glazart les portes ferment très tôt : on n'a pas pu profiter complètement de "l'after" on va dire, mais sinon c'était une très très bonne soirée. Kootoh. En plus on a fait plein de features avec les groupes qui jouaient ce soir-là – c'est carrément l'essence même de ce qu'on recherche. Jules. L'échange ! Kootoh. Oui, c'est ça. Garth. Oui c'était un véritable échange. MI. Il y avait vraiment tout le public ? Kootoh. Une grosse partie du public - tout ce qui a pu monter sur scène ! Garth. Voilà, il n'y avait plus de place sur scène, et le vigile faisait les gros yeux sur le côté, il se disait "Qu'est-ce que je vais faire ?"... Kootoh. C'était cool, parce qu'on avait invité les gens à monter sur scène, on ne pensait pas qu'ils allaient le faire, et finalement... Jules. Ils ont répondu présent. MI. C'était spontané, ce n'était pas prévu à l'avance ? Kootoh. Pas du tout. Garth. Non ce n'était pas prévu. Kootoh. On prévoit rarement des choses à l'avance. Jules. On improvise. Garth. On était les premiers surpris... C'est déstabilisant, mais c'était très sympa !
MI. Quels sont vos prochains projets ? Garth. Des dates déjà, des dates de concert. Kootoh. Du live, du live ! Garth. Du live. On a un petit rythme à tenir – on a quoi, une dizaine de concerts de prévus à peu près ? Kootoh. Oui pour l'instant. Garth. Ça court jusqu'à mi 2016. Et puis forcément, on commence à construire dans nos têtes les prochains morceaux pour le prochain album. Mais là on donne la priorité au live : on a donné la priorité à l'album l'année dernière, donc là...
Kootoh. ...on profite ! Garth. Voilà, on va faire le pourquoi on a fait cet album – c'est avant tout pour jouer sur scène.
Kootoh. On va profiter de cet album !
MI. Avez-vous en conclusion, un message à adresser à vos fans ? Garth. Eh bien déjà merci ! Kootoh. Oui, merci. Jules. Merci de ce qu'ils nous donnent en concert, surtout. Kootoh. On le dit à chaque fois, sans public de toutes façons il n'y a pas de groupe. C'est comme ça. Donc merci ce serait le premier mot qui viendrait, et puis pour ceux qui ne nous connaissent pas encore, venez nous voir ! (rires). Les gens sont souvent surpris, parce qu'on dégage effectivement cette énergie qu'on met en œuvre et dont on parlait tout à l'heure, et je pense que c'est un moment assez intense à vivre, autant pour nous que pour les gens qui sont là. En tous cas on l'espère, et on a toujours eu des retours en ce sens-là. Il faut venir, en live !!!
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