PYORRHOEA (pl) - The Eleventh Thou Shalt Be My Slave (2008)
Label : Metal Mind Productions
Sortie du Scud : 9 juin 2008
Pays : Pologne
Genre : Brutal Death Metal
Type : Album (Réédition 25 avril 2006 - Empire Records)
Playtime : 14 Titres - 37 Mins
Comme dit l’adage, mieux vaut tard que jamais…
La politique chez Metal Impact, c’est de ne jamais laisser tomber un cd dans l’oublie, même lorsque celui ci n’a pas été chroniqué en son temps.
Et lorsqu’en plus il est ré-édité chez nos amis de Metal Mind Productions…
Petite explication du pourquoi je me retrouve avec ce cd deux ½ ans après sa première sortie officielle.
Maintenant que nous avons l’habitude d’être francs, on ne va pas changé de recette. Mais mis à part quelques fans polonais éplorés, personne ne s’était réellement rendu-compte de ce manque.
Ça va, j’en vois déjà d’ici que me lapideraient bien sur la place publique, en invoquant leur droit inaliénable à ne pas connaître immédiatement l’avis du jury avant la fin de l’article.
Il est juste indéniable que le défunt Label de nos amis Polonais n’avait, à l’époque, pas réalisé une campagne promotionnelle digne de ce nom.
Et c’est peu de le dire, parce que passé à côte de cet album est une gageure pour tous fans de Death Polonais.
Parce qui dit groupe originaire de cette contrée pas si éloignée que ça d’ailleurs, dit aussi Hertz Studio. Et bien que cette estampille soit un gage de qualité, il est aussi indiscutable que cette signature laisse trace. Ben oui quoi, ce son, cette production et cette ambiance on la connaît par cœur. De là à dire que tous les groupes qui passent là bas possèdent un son commun, il y a un pas que je franchis allègrement. Tu peux râler dans ton coin, c’est un fait ! M’enfin d’un autre côté il vaut mieux posséder un son à la Hertz qu’un ersatz de bruit à la … et non je le dirai pas, Na !
Passé ce qui n’est pas un détail, mais ce qui ne fait pas un album, concentrons-nous sur ce qu’il se passe dedans inside.
Pas compliqué en fait, à l’instar d’un VADER, d’un KRONOS ou d’un HATE, ben ça charcle sévère. Ça dépote les esgourdes, ça défouraille les trous du cul et ça pulse dans les fosses. Pour en rajouter une couche, tu prends les trois groupes cités en référence et tu balances le tout dans un shaker. Le produit final ne sera pas si éloigné que cela de PYORRHOEA.
Et pour tous les incultes comme moi qui chercherait à savoir, oùkizont pu trouver un nom pareil ?
Regarde dans le Vidal, c’est le nom anglophone d’une maladie de la tronche qui te déforme les gencives et déchausse le reste de chicot.
Finalement pas si mal trouvé comme Patronyme.
Parce qu’entre nous, mis à part quelques erreurs atypiques de jeunesse et son lot de morceaux dispensables, cet album mérite sa place au milieu de votre plus joli meuble porte cds.
Et comme en plus ils sont enclins à enregistrer un nouvel album (preuve sur leur site en vidéo) il sera plus facile pour tout monde de montrer la jaquette du cd que de tenter de prononcer leur nom !
Pensez-y !!!
Ajouté : Lundi 27 Octobre 2008 Chroniqueur : Oncle Machin Score : Lien en relation: Pyorrhoea Website Hits: 9903
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